Le Docteur Sydney Ohana interviewé par le Nouvel Observateur
Dans le supplément du journal Le Nouvel Observateur Obsession n°2508 du 29 novembre 2012 intitulé « Une jeunesse botoxée », le docteur Sydney Ohana explique « qu’il faut dédramatiser l’acte » de chirurgie esthétique et que lorsqu’elle répond à la demande des patients, la chirurgie esthétique leur apporte une vraie satisfaction.
A la luxueuse Clinique Pétrarque, dans le 16e arrondissement parisien, tout est fait pour qu’on se sente « comme à la maison ». Dans les salons au décor à la fois moderne et rococo, les fauteuils sont moelleux, les tapis épais, et la cheminée flambe. Des hôtesses tout sourire apportent le café, les blouses blanches ont l’empathie au fond des yeux et vous donnent du « ma petite chérie ». Ne sont-elles pas là pour faire le bien, « rendre la beauté aux visages avachis », « donner du glamour à la vieillesse » ? « Il faut dédramatiser l’acte », répète le chirurgien Sydney Ohana, le propriétaire des lieux. Lui a une technique imparable pour décomplexer les patientes hésitantes. « Je leur demande comment elles aimeraient vieillir : comme Jane Fonda ou comme Brigitte Bardot ? ». Chez lui, on vient en famille. Les mères avec leur fille, les sœurs, les frères, les cousines, etc. Ce couple, par exemple. Lui, 58 ans, agent immobilier, elle, 32 ans, commerçante. Venus une première fois pour une réduction mammaire et des implants capillaires, ils sont revenus faire des injections. « Maintenant, qui dirait qu’on a 26 ans d’écart ? », interroge l’homme…